-- statut : il a tout dévasté comme un ouragan, laissant que les miettes d'un coeur brisé en éclat.
DARKNESS
hullabaloo relationships: rp en cours : alma, creed, leo
Dim 6 Oct - 21:08
malcom lynch
ft. alex høgh andersen (nightcall.)
Âge : vingt-quatre ans que tu respires, vingt-quatre ans que ça fait mal. compte à rebours lancé, telle une bombe prête à exploser, tu te trouves déjà chanceux d'avoir vécu si longtemps. Nationalité : ta mère est irlandaise, la belle rousse au regard azur qui fait chavirer tout le monde. t'en as hérité ses yeux froids et son charme naturel. ton père était français, beau parleur, t'en as gagné une folie meurtrière qui hante tes nuits et tes jours. Profession / études : Tonton Kean qui t'as pris sous son aile au garage pour t'apprendre le métier, parce que mater sous le capot des berlines ça t'occupe l'esprit, et oncle Kean il voit bien que t'en besoin. Etat civil : t'as aimé trop fort une fois, il t'a brisé en un claquement de doigt. aujourd'hui tu erres sans vraiment donner, tu restes indéniablement seul. célibataire, refusant toute relation de près ou de loin. Caractère : lunatique, impulsif, colérique, talentueux, malin, attentionné. malcom c'est le type qui parle pas beaucoup mais qui écoute, qui observe. il a pas besoin de s'imposer pour être vu, pour être remarqué, quand il est là, on le sait, point. il a cet air qui inspire le respect mais aussi la méfiance, il intrigue autant qu'il plait. il n'a pas besoin de jouer de ses charmes pour avoir ce qu'il veut, pourtant la seule chose qu'il souhaite plus que tout, il ne pourra jamais l'avoir grâce à son joli minois, non rien de pourra exaucer son vœux le plus cher. Groupe : breakfast club.
usual suspects
Depuis quand es-tu à Derry ? Quel est ton point de vue sur la ville ? Derry j’y suis né et je ne suis pas près de la quitter. Franco-irlandais, je n’ai jamais visité aucun pays de mes origines, comme coincé dans cette ville sans âme, tel un prisonnier qui subit sa sentence sans autre issue. Mais aurait-il autrement dans une autre ville, un autre pays ? Pas sûr. Quand t’es maudit, c’est pour la vie, peu importe ta destination, ça te poursuit. Derry, j’ai appris à l’apprécier comme un compagnon de cellule, autant en faire un ami et rendre l’avenir plus supportable.
Es-tu touché par l’une des disparations ? Quel est ton ressenti par rapport à ça ? Pas directement. Mais quand une telle tragédie touche une communauté, forcément ça renforce les tensions, alimente la paranoïa et les pires facettes apparaissent. Les masques tombent. Les langues se délient. La moindre erreur se retourne contre vous. Le descendant d’une famille fondatrice, qui se suicide sans raison apparente et c’est toute la ville qui vacille vers l’absurde. Accusé par les uns, soutenus par d’autres. Et votre nom est traîné dans la boue avant même les funérailles.
Penses-tu que la police a bien fait son travail dans ces affaires ? Je pense qu’elle a fait ce qu’elle pouvait avec les moyens dont elle disposait. L’idée de recruter de nouveaux agents n’est pas mauvaise, mais parfois l’impensable est probablement juste la réponse. Personne ne saura jamais ce qui est arrivé à ses gosses, et peut-être que c’est mieux au fond. La vérité est souvent bien plus insurmontable que l’ignorance.
STAND BY ME
you give love a bad name.
{dix-neuf ans} flippant ton père. bouffée qui enfume l’espace et brouille sa vision. c’est son métier, connard. (un, deux, trois, quatre.) les yeux qui se ferment. soupire. (cinq, six, sept.) ouai mais n’empêche… record battu. le corps qui se relève sec. regard blasé. tu sais pas la fermer plus de dix secondes, putain. le choc. il s’en fiche le petit prince, il aime choquer, provoquer. il est maître des lieux. son corps est déjà sur l’autre, le chevauchant en bloquant ses mains, l’autre prisonnier de sa force démoniaque. on s’en fout de mon père, ok. c’est pas pour ça que je t’ai fait venir. échange de regard, combat silencieux, le lit qui craque, mais il résiste le brun, c’est lui le maître, lui qui mène la danse. le corps devient immobile. l’esclave a capitulé. sourire de vainqueur. pourquoi je suis là alors, malcom hein ? (pour combler le vide qui ronge mon âme quand t'es pas là.) les peaux se rapprochent dangereusement, la chair brûle malgré la neige immaculée qui frappe derrière les vitres givrées. le feu anime la pièce et les deux gamins trouvent un terrain d’entente, réduisant à néant les paroles inutiles. t’es flippant aussi dans ton genre... leo fini sur le sol avant même d’avoir fini sa phrase. casse-toi connard. le rire du brun résonne dans la pièce pendant plusieurs secondes après son départ.
(...)
il s’appelle comment déjà ? theo ? leo.. ah oui leo, j’aime bien, ça fait sauvage. soupire. je t’ai pas demandé ton avis sur son prénom, t’sais. je sais mais je le donne quand même, parce que mon avis compte je te signale. mouai. t’es un enfoiré malcom tu le sais ça. ouai alma, je le sais. et je t’aime aussi.
{vingt et un ans} je suis désolé pour ton père, malcom. vraiment, je.. incapable de retenir ses larmes, il les laisse rouler sa joue déjà trempée. tu quoi ? t'es pas responsable à ce que je sache, putain ! la colère s'échappe et s'empare de son regard azur devenu noir. épargne-moi tes conneries de flic à la con, c'est pas pour ça que je suis venu, leo. son t-shirt valse à l'autre bout de la pièce, alors que ses mains sont déjà sur le torse du policier, ses lèvres accrochées aux siennes. ça dure quelques secondes, le goût salé des larmes sur les lippes. mais ça s'arrête brutalement, malcom sent son corps être repoussé doucement loin de leo. qu'est-ce que tu fous ? merde c'est quoi ton problème ? il est déjà sur ses pieds le franco-irlandais. à agiter les mains dans les airs comme un détraqué. il est perdu, il saigne, il souffre. il a besoin de lui, besoin de sa peau contre lui. il brûle. il rage. il hurle sa peine. les bras salvateurs tant attendus s'enroulent autour de lui. tu viens de perdre ton père malcom, je ne peux pas profiter de toi, pas comme ça. t'as juste besoin... (foutaises) il le repousse violemment, incapable de contrôler sa haine. va te faire foutre, leo ! qu'est-ce tu en sais toi de ce que j'ai besoin hein ?! je suis majeur, merde, et j'ai envie que tu profites de moi justement... nouveau rapprochement, plus doux, le prédateur jauge sa proie. je vais sûrement finir comme lui, leo. comme mon père. ne me repousse pas, pas maintenant. et ses bras retrouvent leur place autour de lui. jamais, malcom. jamais.
(...)
you promise me heaven, then put me through hell. attends, tu te fous de ma gueule là ? le doigt pointé vers leo, le plus jeune tremble de colère. non, malcom. je suis désolé, je n'ai pas le choix, je suis muté, je dois partir, c'est mon métier. j'ai pas le choix. bullshit, on a toujours le choix, leo ! tentative d'approche échouée. me touche pas ! casse-toi si c'est ce que tu veux ! je m'en fous bordel ! dis pas ça malcom... on pourra toujours... quoi ? s'appeler, s'envoyer des textos ? sérieux mec ?! t'es vraiment naïf mon pauvre. rire nerveux. il revêtis son masque malcom. il fait bonne figure, alors que leo vient juste de lui arracher le coeur pour l'écraser d'une main brûlante. que sa vie s'envole en éclats sans qu'il ne puisse rien y faire. il part. il part vraiment. putain fais quelque chose. supplie-le. hurle à pleins poumons, retiens-le. fais quelque chose, merde! trop tard. son parfum flotte encore dans la pièce quand ton corps s'écroule sur le sol.
I THINK WE'RE ALONE NOW
Pseudonyme : nighcall. Prénom : on se connait pas assez Âge : trop vieille pour toi Commentaire : je vous aime déjà tous (comment ça y a personne ? si y a merlin d'abord
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