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 the bitter truth - septembre 2019 (luna)

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Arno Ackerman
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Arno Ackerman

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Mer 16 Oct - 14:30


there's a cold heart, burried beneath
and warm blood, running deep
secrets are mine to keep
@Luna Walkersky



Sa main entre en contact avec la petite porte en bois. Une fois, deux fois, trois fois. Toc toc toc. Quelques secondes s’écoulent silencieusement, rien ne se passe. L’homme fronce les sourcils, se balance d’un pied à l’autre alors que son regard papillonne jusqu’à la fenêtre de la maison. Il ne sait plus vraiment à quand remonte la tradition mais les vendredi-repas sont ancrés dans leur routine depuis bien longtemps si bien que voir Luna débarquer sur le palier, un sourire rayonnant accroché aux lèvres est devenu une habitude pour Arno. L’homme retente sa chance et frappe une nouvelle fois à la porte. Toc toc toc. Même si il ne l’avouera jamais sous la torture, Arno est très attaché à leur petite tradition. Il aime faire les courses le vendredi sitôt le lycée quitté, retrouver son amie chez elle pour préparer un bon petit plat. C’est généralement Luna qui s’occupe de donner les ordres, de marier les saveurs et de trouver les bons assaisonnements et en bon petit commis, Arno suit les directions de la chef et a pour mission de trouver une bonne bouteille de vin. Depuis son arrivée en juin, il arrive qu’Hector accepte de se joindre à eux - et parfois même de couper quelques légumes – et c’est lorsqu’ils mangent tous les trois qu’Arno se sent vraiment heureux, vraiment lui-même. Ce soir l’homme ne peut que se réjouir de mettre ses soucis de côtés le temps d’une soirée, en bonne compagnie. Depuis la disparition du petit Timothy cet été, Arno est tendu. Chaque jour, chaque nuit, il ne peut s’empêcher de repenser aux disparitions, de repenser aux familles, de penser à Raphaël, à Anika.

« Luna, t’es là ? » Fatigué d’attendre, Arno a décidé d’ouvrir la porte et le voilà qui pénètre dans la maison. Après tout, cela fait des années qu’il n’est plus un invité chez les Walkersky. « C’est moi ! » Qu’il se sent obligé d’ajouter, au cas où la jeune femme n’aurait pas entendu ses petits coups répétés contre la porte et serait prête à l’assommer, une lourde poêle à la main. Luna reste cependant introuvable. Parfaitement à l’aise, Arno se dirige à la cuisine et commence à déballer les courses, installant les ingrédients qu’il a apportés sur le plan de travail. Les sacs sont pratiquement vidés lorsqu’il est rejoint par Luna. « Tiens, la voilà ! » Un large sourire étire les lippes de l’homme alors que son regard bleu acier se pose sur la silhouette de son amie. « J’ai presque cru que tu m’avais oublié, parfaitement scandaleux. » Arno est le genre d’homme qui ne parle pas beaucoup, surtout avec les gens qu’il ne connaît pas ou qu’il ne considère par comme un ami mais avec Luna, tout est différent. La jeune femme et sa bonne humeur ont généralement raison de lui et font parfois ressortir le petit garçon souriant et rêveur qu’il était autrefois. « Je t’ai apporté pleins de bonnes choses, j’attends tes ordres, ô cheffe suprême. » Il se munit d’un couteau qu’il pointe en l’air, triomphant. Aucune réaction. Lentement, il repose le couteau et sonde le visage de son amie. Quelque chose cloche. Il n’a pas besoin d’en demander plus, il connaît la jeune femme par cœur. « Qu’est-ce qu’il se passe ? Il est arrivé quelque chose ? » Hector ? Une mauvaise nouvelle au travail ? Il avance d'un pas dans sa direction et plante ses iris dans les siennes. Ses deux mains viennent se poser sur les frêles épaules de son amie. « Est-ce que je dois aller frapper quelqu’un ? ». Un sourire mutin se dessine à la commissure de ses lèvres mais son ton est aussitôt plus grave, plus sérieux.


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Luna Walkersky
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Jeu 17 Oct - 21:46

@arno ackerman &
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Vendredi, le jour où les gamins sont assez téméraires et qu’ils se croient tout permis. Attendez un peu que Luna Walkersky se mêle de ce qui ne la regarde pas. Tu as encore eu affaire à quelques embuscades dans les corridors avant de pouvoir finalement te rendre vers ton domicile, Hector étant probablement déjà là et tu sais à quel point tu peux être épuisée de tes journées, surtout un vendredi soir. Et pourtant, ce n’est pas ce qui t’inquiète le plus en ce moment. Même en claquant tes talons à l’extérieur de l’établissement scolaire et en vélo, tu ne cesses d’y penser. « Tu dois lui dire, tu dois lui dire. Mieux vaut que ça sorte de toi que de quelqu’un d’autre et retirer le pansement. » te dis-tu, tout en prenant une grande respiration devant le miroir depuis les derniers mois. Louisa. Arno. Louisa et Arno, deux noms qui te sont affreusement trop familiers et qui pourtant continuent de t’accompagner et ce, malgré toutes ces années qui séparent la cruelle vérité et tes années où toi-même tu foulais les planchers de ce lycée de petite ville. Louisa et Arno, c’est compliqué. Tu n’as jamais su dire comment elle a été la seule nana que t’as toujours été capable de supporter. Elle était probablement la moins fake que les autres et elle rendait ton meilleur ami heureux. Oui, tout ça, au passé, derrière les bancs d’école et le fait que leur relation se soit subitement arrêtée et que tu ne la revois tout simplement plus. Mais voir quelqu’un n’implique pas nécessairement qu’on ne lui parle plus, n’est-ce pas? Eh oui, tu es encore en contact avec Louisa... le seul hic dans toute cette histoire, c’est que ton meilleur ami n’est toujours pas au courant et tu as peur qu’il le découvre par la langue de mauvaises personnes ou encore que ça sorte. Surtout si on considère le fait qu’elle a envie de revenir en ville, il ne s’agit que d’une question de temps, après tout. Et tu te dis qu’Arno mérite de savoir tout ça. Mieux vaut aussi que ça sorte de toi pour ne pas qu’il ait de mauvaises surprises. Tu as l’habitude de sortir les quatre vérités devant des élèves insolents, mais devant ton meilleur ami, c’est une autre histoire. Même si tu sais avoir raison, parfois même tort, tu sais que cette nouvelle ne sera jamais facile à annoncer et que peu importe la façon dont tu t’y prends, il va falloir que ça sorte. Visiblement, en arrivant, personne n’y est, mais tu vois pourtant que quelqu’un est dans la maison. Probablement Hector, penses-tu en premier, oubliant presque le jour qu’on est en réalité et tu entres, déposant ton vélo dans la cour arrière. Tu finis par entrer et à voir qu’il ne s’agit pas de ton neveu, mais plutôt de ton dit meilleur ami. Ça y est. Pas le choix, il a l’air trop soucieux pendant que tu restes silencieuse, pendant un petit moment. « Je... tu n’as pas vu Hector, si? » demandes-tu, histoire de briser ton propre silence. Ce n’est pas comme si tu avais une annonce importante à faire et que... eh bien, tu allais larguer une bombe? En fait, si. Tu essayes de détendre l’atmosphère. Ça va déjà t’aider. « Je suis désolée, j’avais vraiment complètement oublié... Disons que comme chaque vendredi, c’est la jungle dans les corridors et que j’ai été obligée de surveiller plus longtemps. » Tu le rejoins. « On n’était pas vraiment comme ça dans le temps... non? » Tu connais déjà une partie de la réponse, mais vraiment, il faut confirmation de la part de ton meilleur ami. Et il faut aussi que tu trouves un moyen de te calmer avant de retirer le pansement, le temps que la plaie ait le temps de guérir, même si toi tu ignores quand est-ce qu’elle est censée redébarquer en ville. « Non, ce n’est rien, juste... j’ai quelque chose à te dire et je veux pas que t’aies un couteau dans les mains. » Déjà juste pour la propre sécurité de tout le monde... mais un peu beaucoup pour toi et lui.
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