Âge : dix-neuf ans ; l'immaturité dissimulée d'une intelligence en souffrance. la vieille âme qui maintient de peine sa flamme. ahah, l'bruit des sanglots qui coulent à flots. il s'rit du déni, pour seulement finir meurtri. Nationalité : américaine ; gueule d'ange qui fait chanter ses louanges. pas américain, murmurent les potins du coin. peut-être d'ailleurs, l'gamin espère comme un conte meilleur. Profession / études : étudiant en sciences ; l'cerveau un peu trop gros qui anime son désir d'un grand avenir, les étoiles qui brillent dans ses yeux comme un aveu silencieux de ce qu'il veut. guichetier au aladdin theater ; l'métier pour une petite rentrée des billets dans sa poche trouée. la vision d'certains films en toute discrétion. Etat civil : célibataire ; pas très net dans sa tête, selon l'jugement ignorant des gens. cons, cons, ils sont cons. la liberté de séduction d'un tourbillon aimé, l'don d'un sourire endiablé. Caractère : tropintelligent ; surdoué ; ambitieux ; rêveur ; la tête dans les étoiles, toujours plus haut, et les étoiles dans ses yeux ; p'tit con ; égocentrique ; les amis, toujours les amis, les amis d'abord ; protecteur ; arrogant ; bagarreur ; l'éternel coquard sous son œil ensanglanté ; réfléchi ; tacticien ; colérique ; l'ironie et l'retour d'karma ; encore bien jeune, finalement Groupe : breakfast club.
usual suspects
Depuis quand es-tu à Derry ? Quel est ton point de vue sur la ville ? la poussière sectaire, moisie d'rester à derry, probablement celle qui l'a fait hurler et pleurer lors de ses premières bouffées. coincé dans une destinée non souhaitée, l'emprise de la ville sur son cœur qui agonise. derry pour toujours, derry qui ne sera jamais son amour. son souhait l'plus fou de voyager partout, n'importe où. séquestré, enchaîné, brisé. il s'convainc qu'il cassera un jour les chaînes qui attise sa haine, en vain.
Es-tu touché par l’une des disparitions ? Quel est ton ressenti par rapport à ça ? les mains sur les yeux pour vivre heureux, la facilité d'ignorer quand on n'est pas concerné. puis finalement la lâche abdication d'un p'tit con. il n'a eu que ses larmes pour pleurer quand ça l'a touché. le p'tit frère qu'il aime d'tout son être a disparu et son soleil n'brille plus. l'obsession malsaine qui transperce son abdomen de haine et de peine. les insomnies qui rythment sa vie alors que dans sa tête il n'y a plus que cette quête. l'gamin a besoin d'son frangin, et son cœur n'a de cesse d'agoniser sous ce malheur.
Penses-tu que la police a bien fait son travail dans ces affaires ? pendant longtemps il a ri au nez de ces ignorants. mais il n'a que de la colère contre l'incapacité policière. des putains de bons à rien contre lesquels il reporte le chagrin de la disparition de son p'tit frangin. il n'a aucune confiance dans l'aberrance de leur ignorance. il fait son propre chemin, peut-être un peu malsain, alors qu'il les observe de loin avec dédain. il préfère alors s'faire solitaire.
STAND BY ME
une pluie diluvienne s’abat sur la petite ville déjà bien morose de derry, image presque religieuse d’une rage divine blasée qui chute sur l’monde dans une violence sans force. les gouttes se mélangent aux larmes, cocktail liquide naturel qui noie et nettoie les sanglots. les pleurs se confondent avec les rires, bien plus bruyants, qui les couvrent sans l’moindre effort. c’est facile d’ignorer l’malheur qu’ils sont entrain d’causer, s’concentrer sur leurs petites personnes alors qu’ils sont entrain d’écraser d’autres encore plus petites personnes. ou qu’ils pensent être plus petites, alors qu’ils se pensent également les maîtres du monde. ce sont eux, les petits. p’tits cons.
ils n’sont pas tous à donner des coups. en vérité, il y a même peu d’coups qui pleuvent. eux, ils préfèrent la violence verbale. l’humiliation, la panique psychologique. ils n’sont pas tous à donner des coups, verbaux. mais ils sont tous dans l’coup. tous aussi coupables les uns que les autres. ceux qui frappent, émotionnellement. ceux qui sourient et rient, de cette tragédie. ceux qui fument en regardant, d’un air neutre presque blasé. nathy, s’il évite d’frapper, il est un peu des autres. il est de ceux qui regardent en fumant, un air lointain d’en avoir rien à carrer, et rire d’temps en temps pour faire bonne figure. parfois il rit vraiment, nathy. ou il croit qu’il rit. derrière ses ricanements ou ses éclat s’cache une tristesse que lui-même ne ressent pas. ou s’persuade de ne pas ressentir. nathy, s’il évite d’frapper, il sait s’défendre. gringalet, ses poings n'ont pas toujours l'effet escompté. mais il est gros, son cerveau, et il sait s’en servir. la détermination qui se mêle à la cruauté sur l’expression d’son visage, sa langue est acérée et redoutable. nathy, il est peut-être un peu des trois. il regarde, il rit, il frappe. mais surtout nathy, c’est celui qui les sort des emmerdes, l’plus souvent.
tout est un art. c’est une putain d’ironie. tout est un art, c’est un putain d’comédien qui s’perd lui-même dans son jeu. l’ironie d’sa vie, aucun contrôle dessus pour un gamin arrogant qui s’prétend plus mature que les autres, que tous les autres. parce qu’il est intelligent, très intelligent, trop intelligent.
c’est un surdoué, nathy. l’qi qui explose les scores. ses neurones font des connexions qui semblent venir du cosmos, et pourtant il a raison. il l’sait depuis qu’il est tout petit, qu’il est peut-être un peu différent des autres. et parce qu’il est intelligent, tout petit il a deviné comment l’monde fonctionne. il voulait pas être exclu de la société, il voulait pas devenir une victime de la société. alors il a sorti sa langue et les coups verbaux. il a cogné avant qu’on ne le cogne. et au lieu de devenir une victime, il est devenu l’une de ces personnes qu’il craignait tant. sans s’en rendre compte, sans l’contrôler. les larmes qui s’mêlent à la pluie, il est plus facile d’ignorer, de nier, que d’affronter la réalité qui est la triste vérité.
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l’sang gicle, éclabousse les murs alentours, déjà crades de la pollution de la ruelle. son sang ou celui du sale mec, il n’est plus sûr. il s’perd dans sa rage. ferme ta gueule ! ferme ta gueule, connard. sa gueule n’est plus angélique, mais elle est encore plus blême qu’à l’habituel. (la fureur l’transforme.) psychopathe. il a reçu des coups, mais c’est celui qui donne l’plus. la fureur l’transforme. l’autre gars est assommé, il n’a plus la force de répliquer, il s’contente de recevoir. peut-être qu’il n’est même plus véritablement conscient. nathy s’en aperçoit pas, il continue de donner, de cogner. la fureur l’transforme. il pleure en même temps qu’il donne, qu’il cogne. il pleure de rage et de fureur. il pleure d’souffrance. ça t’apprendra à l’insulter. une salope qui ouvre les jambes à la première bite, qu’il a osé dire en riant. non. il n’a pas ri longtemps. nathy n’a pas attendu qu’il sorte du bar pour lui mettre une raclée. il l’a trainé dehors, de suite. la fureur l’transforme. il est trash, nathy. mais ses deux frangins et sa mère sont son tout. différents pères, il s’en fout. ils sont sa famille, ils sont son tout. c’est pas une pute… c’est pas une pute ! elle a juste du mal à trouver une stabilité amoureux. parce que maman, elle est polyamoureuse, sans l’savoir. il cogne, il pleure. y a l’grand frère qui arrive d’un coup. peut-être parce que l’barman l’a appelé, paniqué devant la violence incontrôlable de nathy. peut-être parce qu’il passait dans l’coin. c’est une petite ville, derry. y a l’grand frère qui arrive d’un coup et l’attrape. l’seul qui peut le canaliser. il veut taper encore, nathy. mais il frappe dans l’vide. il pleure encore plus, plus fort. n’se rend même pas compte qu’il pleure, en fait. dans l’fond, c’est un p’tit con mais c’est un sensible, nathy. ça va aller.comment tu sais, comment tu sais ? non, ça va pas aller.
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l’cœur qui s’est remis à battre. boom boom. ça fait mal, parce qu’il a oublié ce que c’était d’être vivant. c’est une bonne souffrance, on lui dira. étrange débat, parce qu’il n’a pas envie d’souffrir. quand le p’tit frangin a disparu, la rage et la tristesse l’ont transformé en homme sans émotion ou sentiment. psychopathe.zombie mode. l’obsession qui écrase tout. sa quête qui surpasse tout. la sensation de ne pas souffrir (mensonge). peut-être qu’il souffrait encore, derrière son apparence de glace. il ne le sentait juste pas, il se contentait de l’ignorer. la fureur l’transforme. toutefois ce n’est pas la même fureur que d’habitude. mais elle est toute aussi malsaine, elle aussi. des mois et des mois de souffrance assommante à l’faire avancer comme un zombie. il n’voyait plus rien, il n’entendait plus rien. impossible de percer sa bulle. puis y a lui, qui a réussi. sans qu’il ne le sache, sans que nathy n’comprenne vraiment pourquoi. parce qu’il ne l’aime même pas c’mec. c’est un sale con. mais c’est aussi l’seul mec intéressant qu’il a rencontré depuis des années. il n’est pas intéressant, il est juste chiant.chut, t’es dans l’déni. il n’est même pas un humain correctement fonctionnel. un ours, dans une caverne. mais peut-être que finalement il est moins hypocrite que ces humains qui marchent d’un pas déterminé et paradoxalement perdu dans les rues de derry. non, non. ce n’est pas la question. il s’en fout de qui il est, en tant qu’humain – ou bête du coup. lui ce qui l’intéresse, c’est son p’tit frère. et cet homme à peine fonctionnel semble être sa meilleure chance.
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Mar 8 Oct - 20:38
/POUSSE TOUT LE MONDE/ tu veux ma mort avec tes avatars là ou quoi ?!! ce début de fiche, je pleure. espèce de sheitan sérieux je vais pas résister longtemps je crois. fuck. t'es genre trop parfait, je te dis bienvenue officiellement je veux tellement en lire plus. si t'as besoin, on est là
Raphaël Byrne - #breakfast club -
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Mar 8 Oct - 20:42
Déjà le pseudo et l'ébauche je suis carrément fan
Bienvenue dans le coin
Alma Findley - #the loser club -
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Mar 8 Oct - 20:57
pfffffff mais arrête de me tuer avec tes mots, veux-tu ? ta poésie est trop belle, en vrai, j'rage (jtm quand même, faut pas croire) alma va sans doute shipper malcom et samwell (vous êtes prévenus)
@malcom lynch t'arrêtes de crier wsh wlh oh ?? (en vrai j'aime bien quand tu cries pour moi, continue.) et tu sais c'qu'on dit. qui aime bien, sheitan bien. (j'viens d'me faire rire tout seul, bye.) ajshsahas j't'aime tellement déjà d'amour toi aussi azy, résiste plus. la résistance c'est devenu grave has been askip. puis même si tu craques pas (pour mes beaux yeux) j'veux obligey un rp. merci mon chat krkrkrkr
@raphaël byrne ajshsahas merci pour les compliments, ça m'fait trop chaud au kokoro
@alma findley fais pas genre. déjà t'es immortelle. i know it. puis rage pas. tes mots sont doux (jtm tout autant. jusqu'à t'donner la main pour t'accompagner à l'ophtalmo krkrkr.) ajnshjsax owi shippe-nous.
Malcom Lynch - run boy run -
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Mar 8 Oct - 21:30
JE CRIE SI JE VEUX. JE VEUS HURLER MON AMOUR WESH. non mais je rigole encore de ta blague sérieux bon je crois qu'il nous faut un lien nathy/malcom déjà et ouai je risque de craquer plus tôt que prévu chut.
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Mar 8 Oct - 21:31
leooooo le vava, le pseudo, touuuut est canon bienvenue dans le coin
Alma Findley - #the loser club -
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Mar 8 Oct - 21:43
@samwell abernathy c'ton amour qui me fait vivre :bigeyes: okay, ship mood activated. tu feras moins le malin quand elle vous enfermera dans un placard de la fac
@malcom lynch d'accord hurle wsh si c'est comme ça ptdrrrr si tu ris d'mon humour pourri, on n'en a pas fini on est fait pour s'entendre toi et moi. t'as déjà craqué c'est ça qu'est bon.
@luna walkersky ajsjhsahjashj j'suis canon seulement parce que tu l'es aussi #phrased'accroche en tout cas merci ma belle
@alma findley ct'amour qui t'fait vivre, qui t'fait vibrer, qui t'fait trembler ?? c'est digne de céline dion ptdrrr grave. j'imagine la scène et j'suis mort. la folle dingue.
Pourquoi j'suis même pas étonnée ? J'adore ta plume, et ton perso mais ça tu t'en doutais déjà Tellement hâte que tu sois validée pour venir te voler dans les plumes parce que j'suis sûre qu'on arrivera à se trouver un lien génial
Arno Ackerman - #the loser club -
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Mer 9 Oct - 16:52
bienvenuuuue je pense qu'on te l'a déjà beaucoup dit mais cette plume je veux en lire plus et léo c'est tellement un bg courage pour la suite de ta fiche
@kelsie hamilton mdr shhhh. j'suis dans l'déni par rapport à mon âge, eukay ? j'suis pas si vieux mais je le vis mal. j'm'en doutais pas. et ça fait super plaisir ahsnjaasj j'finis vite cte fiche et on s'trouve un lien d'bâtard j'ai déjà des pistes d'idées.
@arno ackerman ajnshjsahs on me l'a dit, un peu. mais tu peux le redire, ça flatte toujours mon égo déjà bien disproportionné leo c'est un bg, leo c'est bae. j'rêve d'puis tellement longtemps de le jouer jeune merci beaucoup mon beau
Malcom Lynch - run boy run -
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Jeu 10 Oct - 11:04
DID YOU MISSED ME?
j'ai pas de mots pour décrire cette beauté. tu sais déjà tout anyway, mais la bête n'attend que toi pour la réveiller alors c'était pas si dur hein ? te voilà officiellement habitant de derry, autrement t'es mal barré mais t'inquiète, on va te guider un peu pour ne pas que tu te perdes et te retrouves attaché au fin fond d'une cave déjà, on te conseille d'aller faire un tour dans le bottin des avatars, histoire d'être sûr qu'on ait bien mis ta face dedans. tu peux faire pareil dans les annuaires de métiers et de logements, juste pour vérifier, on est pas infaillibles t'sais. si ton perso a un lien avec un enfant disparu, tu peux aller le rajouter dans ce sujet là. ensuite, tu peux aller faire des pré-liens ou scénarii ici, si besoin. et tu as cette partie pour te faire des amis et puis si jamais t'as besoin d'un lieu particulier qui ne figure pas sur le forum, tu peux demander à l'ajouter dans ce sujet ici. et si t'as déjà envie de rp sans avoir d'amis, t'as les tc et intrigues par ici. voilà, maintenant il te reste plus qu'à t'amuser et essayer de ne pas trop effrayer les gosses
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à venir te castrer pour quelques vocalises (nathy)